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La courbe : ce qu’il faut savoir

La courbe : ce qu’il faut savoir

La courbe : ce qu’il faut savoir

Nous sommes dans la dernière étape de production des œuvres qui composeront le volet francophone de La courbe, une collection de projets où des artistes d’ici donnent la parole à la population canadienne en temps de pandémie. Ces œuvres seront mises en ligne sur onf.ca/la-courbe au cours de l’automne.

Vous désirez en savoir plus sur La courbe ? Voici les réponses aux questions que vous pourriez vous poser.


À quoi peut-on s’attendre des œuvres ?

Il s’agit de courts métrages de moins de 10 minutes dont les sujets vont de la quiétude du Bas-Saint-Laurent aux rêves et aux désirs des travailleurs de la santé, en passant par le deuil dans une communauté religieuse.

Leurs formes sont également diverses : certains courts mettent de l’avant l’imagerie des vidéoconférences ; d’autres, une part d’animation, des essais en 16 mm ou des conversations téléphoniques. On voyage entre la ville et la campagne, entre le banal et le sacré.

Quels cinéastes ont contribué à La courbe ?

Les créateurs et créatrices ont été sélectionnés pour l’excellence de leur travail et leurs idées originales, mais aussi dans un souci de représentation géographique et dans le respect de la pluralité.

Parmi eux, nous retrouvons Oliver D. Asselin, qui a signé en 2015 le documentaire Pipelines, pouvoir et démocratie, accessible sur ONF.ca, ainsi que Christine Chevarie-Lessard, dont le plus récent film, Point d’équilibre, suit des élèves de 11 et 12 ans du programme professionnel de l’École supérieure de ballet du Québec.

Est-il possible d’avoir un avant-goût avant la mise en ligne ?

Nous ne sommes pas en mesure pour l’instant de diffuser les premières images. Par contre, nous venons de mettre en ligne les trois premiers films de nos studios anglophones, qui nous amènent en forêt dans les Territoires du Nord-Ouest, dans une ferme en Saskatchewan et au cœur de la ville de Winnipeg.

Vous pouvez également voir ou revoir les récits publiés sur le compte Instagram du projet Parenthèse, qui montre le travail de plusieurs talentueux cinéastes d’animation d’ici, ainsi que le projet interactif bilingue Pivot, qui recueille les témoignages d’entrepreneurs en temps de pandémie.

Comment la COVID-19 a-t-elle changé le travail de production ?

La pandémie nous a obligés à explorer de nouvelles méthodes de production. Une sorte de laboratoire pendant lequel nous avons mis à l’épreuve certains outils technologiques légers pour la prise d’images (téléphones intelligents) et de sons, ainsi que certaines plateformes de partage et de postproduction pour le travail à distance.

Le talent des créateurs et créatrices s’est révélé à travers leur débrouillardise et leur capacité à raconter des histoires avec les moyens à portée de main. Ils ont réussi à dégager du sens et une grande poésie de cette crise. Chacune des œuvres est une bulle d’air frais dans cette période troublée.

Qu’en est-il des œuvres produites en anglais ?

Comme cela est mentionné plus haut, nous avons déjà commencé à mettre en ligne les premiers films produits en anglais, sur le thème « Lumières, caméra, élan ».

Les prochains thèmes, qui comptent un nombre variable d’œuvres, seront accessibles au fur et à mesure au cours des trois prochains mois.

Surveillez dès le 21 septembre la mise en ligne des films sous les thèmes Body and Soul et The Big Reset.

Bon visionnage en ligne, et demeurez prudents !

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