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J’aime les patates! Un jeu d’aventure pour changer le monde une patate à la fois

J’aime les patates! Un jeu d’aventure pour changer le monde une patate à la fois

J’aime les patates! Un jeu d’aventure pour changer le monde une patate à la fois

Comment trouver un moyen ludique et amusant d’aborder le développement durable, le travail collaboratif et l’action locale avec vos enfants? En jouant à J’aime les patates, pardi!

Nous sommes fiers de vous présenter cette toute dernière création de notre cinéaste en résidence Vali Fugulin (Toi, moi et la Charte), réalisée en collaboration avec la boîte de jeux vidéos d’auteur Minority, et illustrée par nul autre que Patrick Doyon, cinéaste d’animation sélectionné aux Oscars en 2012 pour Dimanche. Un jeu d’aventure un peu absurde, décalé et drôle sur l’innovation sociale, offert gratuitement sur le Web, sur tablettes et mobiles (iOS et Android).

Il s’agit de notre premier jeu vidéo 3D disponible en 7 langues! Voici la bande-annonce pour vous donner un avant-goût :

Changez le monde, une patate à la fois

Destiné principalement aux 9-12 ans, J’aime les patates permet de comprendre étape par étape comment il est possible de semer de nouvelles idées pour faire germer le changement dans notre société.

À Patateland, tout le monde aime les patates puisqu’elle est la richesse qui permet de vivre. Lorsque le village est frappé par une pénurie de patates, Chips doit trouver une solution pour apprendre à survivre sans elles, sauver sa communauté et vaincre la domination du monstre Patatosaure. Il ne pourra y arriver seul. Il lui faudra rallier la communauté avec votre aide et celle de Mamidon…

Sur la musique envoûtante de Jean Phi Goncalves et Alex McMahon (Plaster), les étapes du changement social sont amenées par un parcours ludique, qui ouvre à la discussion entre les générations pour trouver comment changer les choses… un petit geste à la fois.

Des personnages inspirés de 7 innovateurs sociaux

Pour créer les personnages du jeu, Vali Fugulin s’est inspirée des histoires fabuleuses de 7 innovateurs sociaux, qui à partir d’une idée, ont réussi à transformer leur société. Ils sont présentés à la toute fin du jeu. Les voici :

Chips chips

Dès l’âge de 6 ans, Albeiro Vargas était touché par le sort des personnes âgées abandonnées dans les rues de Bucaramanga (Colombie). Aujourd’hui, sa fondation accompagne des centaines d’entre elles.

Laplure

laplureAlbina Ruiz était choquée par les conditions de vie et d’hygiène de son quartier de Lima (Pérou). Elle a créé des microentreprises de collecte et de traitement des déchets.

Mamidon

mamidon

Germaine Acogny trouvait qu’on valorisait peu la culture en Afrique. Elle a fondé l’École des Sables (Sénégal) pour aider les danseurs de tout le continent.

Patenteux

patenteux

Les enfants de Cateura (Paraguay) travaillaient dans la décharge et fréquentaient peu l’école. Ils apprennent aujourd’hui la musique et fabriquent leurs instruments avec les déchets récupérés dans le dépotoir.

Basse ville

basse-ville

L’organisme Renaissance à Montréal (Canada) récupère des tonnes de vêtements destinés à la poubelle pour les revendre à faible coût. Ce recyclage génère des emplois et permet à des gens moins fortunés de bien se vêtir.

Plage

plage

Guy et Neca Marcovaldi ont été révoltés par le massacre d’une tortue sur une plage du Brésil. Ils ont créé une réserve pour protéger les tortues à Praia do Forte.

Maire 

maire

Jaime Lerner trouvait sa ville de Curitiba (Brésil) polluée et congestionnée. Il l’a transformée durablement avec des bus légers et des initiatives simples, comme l’échange de déchets contre de la nourriture.

Sur le site de J’aime les patates, vous trouverez également un Petit guide de l’innovateur social en 10 étapes, ainsi que des outils pédagogiques pour accompagner le jeu.

Alors maintenant, c’est le temps de changer le monde!

Cliquez ici pour jouer.

Lâchez pas la patate!

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  1. Bonjour!
    Tout d’abord, je vous remercie pour votre billet, qui m’a permis de découvrir le fantastique jeu «J’aime les patates». Moi et mon fils de 8 ans avons eu un grand plaisir à le découvrir et à y jouer.
    J’aimerais vous demander s’il vous serait possible de me mettre en contact avec l’une des personnes qui a participé à la création du jeu, car j’ai une suggestion à faire en ce qui a trait à la «langue québécoise» utilisée dans le jeu. J’inscris ici ma suggestion, au cas où il vous serait possible de la faire parvenir aux personnes concernées.
    Voila, en jouant au jeu en «langue québécoise», quelques formules et mots m’ont surpris, car ils ne m’ont pas semblé tant comme du québécois que comme un «mauvais» usage du français, par exemple, un français écrit spécifique à l’utilisation de réseaux sociaux… Je suis loin d’être une experte, mais justement, il existe des experts en usage du québécois, des chercheurs du Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) ( https://www.usherbrooke.ca/catifq/accueil/). Je me suis dit qu’une collaboration entre l’ONF et le CATIFQ pourrait probablement être intéressante lors de projets comme le jeu J’aime les patates, qui propose une option «langue québécoise». Une telle collaboration existe-t-elle déjà ou a-t-elle déjà été envisagée?
    Je ne suis qu’une simple citoyenne, et je n’ai aucune expertise dans les sphères d’action de vos organisations, mais je me suis dit, «on ne sait jamais, et si mon idée pouvait être utile?».
    Merci encore pour votre billet, et un grand BRAVO aux créateurs du jeu!
    🙂

    — Emilie Gagnon,
    1. Bonjour Emilie, merci pour votre commentaire et vos bons mots. Je les transmets à la réalisatrice qui pourra entrer en contact avec vous.

      — Emilie Nguyen,

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