Choix de films du Réseau d’enseignantes et enseignants ONF, première partie

En vue de vous proposer des ressources, notamment nos mini-leçons et nos billets de blogue destinés à la classe, nous collaborons avec une formidable équipe de pédagogues que nous avons nommée le Réseau d’enseignantes et enseignants ONF.

Les membres du Réseau nous fournissent de précieux renseignements sur la façon dont ils utilisent les films de notre collection (à visionner sur ONF.ca) ou dont ils pourraient se servir de nos films et de nos productions interactives à venir avec leurs élèves. Ils nous indiquent aussi la manière dont ces œuvres s’intègrent au curriculum de leur classe.

Il existe un groupe en ligne où nous pouvons discuter d’une grande variété de sujets, et il arrive qu’au fil de la conversation, les membres de ce groupe nous donnent des exemples concrets des films qu’ils aiment utiliser dans le cadre de leur enseignement et précisent ce qui motive leur choix. Nous avons pensé vous communiquer quelques-uns de ces titres.

COURTS MÉTRAGES DU LABO D’ANIMATION DU NUNAVUT

oehttps://www.onf.ca/film/nunavut_animation_lab_qalupalik_fr/

oehttps://www.nfb.ca/film/nunavut_animation_lab_lumaajuuq/

« Il y a deux courts métrages que j’aime utiliser lorsque j’enseigne la vision du monde traditionnelle dans le cadre du cours d’études autochtones 10 (curriculum de la Saskatchewan.), indique Colette Daelick, enseignante à l’école secondaire Wesmor, à Prince Albert. L’un et l’autre sont percutants et bien accueillis par mes élèves. »

NOUS N’ÉTIONS QUE DES ENFANTS…

oehttps://www.onf.ca/film/nous_netions_que_des_enfants/

Leanne Young, de l’école secondaire Orillia, recommande Nous n’étions que des enfants… « Je l’utilise dans le cours d’histoire de 10^e année, dit-elle. C’est un film difficile à regarder et je consacre généralement une semaine à travailler sur le contenu avec les élèves. Il est vraiment bien fait. »

Au cours de la dernière année, l’enseignante a été reconnue pour son initiative Indigenous Action Project, laquelle incitait ses élèves à « s’engager à l’égard des enjeux qu’ils voient dans la communauté en ce qui concerne les questions autochtones, dans l’esprit de la vérité et de la réconciliation ».

Colette Daelick approuve ce choix. « Je me sers moi aussi de Nous n’étions que des enfants… dans le cours d’études autochtones 10. Très percutant », dit-elle.

AU CANADA

oehttps://www.onf.ca/film/au_canada/

Carla McIvor, qui enseigne en immersion française et en études sociales dans une école secondaire de Calgary, déclare : « Je me sers souvent du film Au Canada, de Michael Morein. Il ne dure que 20 minutes et constitue une bonne introduction à l’immigration dans notre monde actuel, aux facteurs d’incitation et d’attraction qui y sont associés, aux expériences positives et négatives vécues au Canada. Et comme il est entièrement bilingue, il fonctionne bien pour les cours d’immersion française. »

UNE DERNIÈRE CHANCE ET 19 JOURS

Christina Ganev, une enseignante d’histoire de Toronto, ajoute : « J’aime Une dernière chance et 19 jours, pour cette matière. »

oehttp://www.onf.ca/film/une_derniere_chance/

Une dernière chance relate l’histoire de cinq demandeurs d’asile qui ont fui leur pays d’origine pour venir au Canada afin d’échapper à la violence homophobe. Le film révèle leurs difficultés et leur crainte d’être expulsés alors qu’ils attendent la décision qui bouleversera à jamais leur vie.

oehttps://www.onf.ca/film/19_jours/

Le film 19 jours, des sœurs Asha et Roda Siad, montre l’aspect humain du processus de réinstallation des réfugiés. Posant un regard unique sur la crise mondiale des migrants et sur une étape particulière de l’arrivée en terre d’asile, il dépeint les réalités auxquelles se heurtent les exilés dans leur difficile parcours vers l’intégration.

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