Sept films sur des personnalités québécoises marquantes
Découvrez sept documentaires de l’ONF qui mettent en lumière différentes personnalités ayant marqué l’histoire et la culture québécoises.
Pauline Julien, intime et politique
Ce documentaire de Pascale Ferland nous entraîne dans le sillage de Pauline Julien, alias la Renarde : cette femme résolument libre et engagée, figure emblématique d’une époque charnière de l’histoire du Québec.
Pauline Julien, intime et politique, Pascale Ferland, offert par l’Office national du film du Canada
Le grand Jack
Ce documentaire revient sur la vie et l’œuvre de Jack Kerouac, auteur d’origine canadienne-française du célèbre roman Sur la route. Ponctué d’entretiens en français, le film d’Herménégilde Chiasson contient également des entrevues avec Allen Ginsberg ainsi que des reconstitutions d’époque inspirées de la vie de Kerouac.
Le grand Jack, Herménégilde Chiasson, offert par l’Office national du film du Canada
Une vie comme rivière
Simonne Monet-Chartrand a largement contribué à l’avancement de la société, et son engagement pour la cause des femmes, notamment, résonne encore aujourd’hui. Diane Cailhier et Alain Chartrand dressent son portrait dans le documentaire Une vie comme rivière.
Une vie comme rivière, Diane Cailhier et Alain Chartrand, offert par l’Office national du film du Canada
Hubert Reeves : conteur d’étoiles
À travers son discours sur l’environnement, son engagement et la façon qu’il a de militer pour un avenir meilleur, Hubert Reeves continue d’inspirer. Alors que le réchauffement climatique prend de plus en plus d’ampleur, ce documentaire de Iolande Cadrin-Rossignol demeure d’actualité et nécessaire.
Hubert Reeves : conteur d’étoiles, Iolande Cadrin-Rossignol, offert par l’Office national du film du Canada
Luce Guilbeault, explorActrice
Marcel Jean rend hommage à la comédienne Luce Guilbeault, qui a entre autres joué sous la direction de Denys Arcand et d’Anne Claire Poirier. Les deux cinéastes témoignent d’ailleurs de son talent et de sa grande générosité.
Luce Guilbeault, explorActrice, Marcel Jean, offert par l’Office national du film du Canada
Harmonium en Californie
En 1978, lors d’un voyage aux États-Unis, le groupe Harmonium va tâter le pouls des Américains et voir si la culture québécoise peut réussir à franchir les frontières… Une initiative qui, somme toute, n’aura pas été des plus fructueuses.
Harmonium en Californie, Robert Fortier, offert par l’Office national du film du Canada
- À lire aussi : Harmonium en Californie | Doux souvenirs d’un bel échec
Un homme de parole
Michel Chartrand, grand ambassadeur de la justice sociale au Québec, se révèle à traveres ce tendre portrait documentaire réalisé en 1991 par son fils, Alain Chartrand.
Un homme de parole, Alain Chartrand, offert par l’Office national du film du Canada
Un grand principe organisateur de la vie comme de toute chose selon Hubert Reeves serait une possibilité. Oui mais, voilà, ce pourrait être une certitude que nous ne ferions qu’approcher et non par hasard de surcroît puisque ce dernier concept n’existerait tout simplement pas comme serait (à) la mesure de notre ignorance disait Henri Poincaré, le mathématicien. Autrement dit, si pour la vie nous ne ferions que <> – terme prononcé par Hubert – qu’elle pourrait avoir des régularités (boire, manger, copuler, etc.) comme des organes et fonctions pour se réaliser, serait-ce dû au hasard? S’il y aurait des régularités, pourquoi à partir de là et par extension ne pourrait-il pas exister des lois susceptibles de les expliquer?
Concernant la phrase célèbre d’Einstein au sujet d’un Dieu ne jouant pas aux dés, il ne faudrait pas oublier qu’elle aurait été prononcée par un des plus grands hommes de science de tous les temps et que ce ne serait pas tant sur Dieu qu’elle porterait, mais bel et bien sur celle de dé comme de probabilité. Ce qu’elle pourrait bien vouloir dire par conséquent ce serait que, n’étant pas libres pour nous tous à cause d’un principe d’incertitude comme d’indétermination de Heisenberg en physique quantique, nous serions toujours au minimum obligés de revoir nos calculs comme d’utiliser tous les moyens connus à ce jour dans le but d’essayer d’expliquer (de définir) une réalité qui pourrait bien toujours nous échapper jusqu’à la fin des temps.
Pour encore dire les choses autrement, il n’y aurait que les monolithes ou les gaz qui pourraient être qualifiés de libres. Mais encore là, est-ce que même en l’absence de tous les paramètres, ces derniers ne répondraient pas à quelques lois reliées aux quatre forces de la nature (forces nucléaires faibles et fortes, l’électromagnétisme et la gravitation)? Il faudrait bien comprendre que, pas parce que nous ne connaîtrions pas tous ces paramètres, cela confirmerait la présence du hasard. Qu’il ne s’agirait pas non plus d’essayer de savoir à quoi pourrait ressembler un Univers comme une vie où tout serait déjà calculé d’avance et comme si nous avions tout sur un plateau d’argent, ces derniers concepts faisant déjà problème ontologiquement, à savoir qu’elles seraient leur définition (leur être). Vive Hubert!
très beau documentaire sur Luce Guilbault ,merci .Cette femme fut un exemple pour moi .Que de talent ,de générosité et d’intelligence .
merci
Nathalie gascon