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5 courts métrages pour s’initier aux cultures autochtones

5 courts métrages pour s’initier aux cultures autochtones

5 courts métrages pour s’initier aux cultures autochtones

En cette Journée nationale des Autochtones, nous vous proposons ici cinq films qui mettent en lumière différentes facettes des cultures qui occupent ce grand territoire.

Briser la glace

Pour briser la glace, dans un sens aussi littéral que littoral, on découvre d’abord Îlot. Ce court métrage d’animation de Nicolas Brault, tout en minimalisme ludique, s’intéresse aux conséquences directes de nos gestes. Comme dans la plupart des œuvres explorant la vie des Premières nations, il s’agira ici du fragile et précieux équilibre entre les êtres humains, les animaux et le territoire. Ces thèmes sont explorés de façon récurrente dans plusieurs œuvres produites par l’ONF, et Îlot représente bien cette tendance.

Îlot, Nicolas Brault, offert par l’Office national du film du Canada

Plus sobre, le court métrage Antagonia, toujours de Nicolas Brault, explore des thèmes similaires.

Le chant de gorge expliqué

Alors que certains thèmes sont récurrents dans les œuvres explorant les cultures des Premières nations, le chant de gorge, lui, sert souvent de trame sonore pour les courts et les longs métrages de l’ONF. Dans cette courte capsule réalisée dans le cadre des Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle, l’auteure-compositrice-interprète Susan Aglukark sert un peu de pont entre les traditions locales et la culture moderne, alors qu’elle apprend le chant de gorge. On y voit réellement le plaisir de «partager des souffles».

Souffles, Nyla Innuksuk, offert par l’Office national du film du Canada

La forêt transformatrice

Dans ce court métrage d’animation, on voit comment le passage de l’enfance à l’âge adulte se réalise par le contact direct avec la nature. Alors qu’il est connu pour sa maladresse, Maq réalise un petit séjour en forêt, qui le changera à tout jamais. Rencontre marquante d’un garçon qui devient, tranquillement, un homme.

Maq et l’esprit de la forêt, Phyllis Grant, offert par l’Office national du film du Canada

Le hibou et le corbeau

L’homme n’est pas toujours au centre des légendes Autochtones. Sans aucune intervention humaine, ce court métrage d’animation met en scène un hibou et un corbeau (l’hibou étant, avouons-le, terriblement mignon). Ce petit conte ludique explique l’échange qui mène à l’identité actuelle du corbeau. À noter, cependant, qu’en réalité les igloos ne se construisent pas tout seuls, et si vous avez besoin d’instructions, eh bien, voilà: Comment construire votre iglou.

Le hibou et le corbeau : une légende eskimo, Co Hoedeman, offert par l’Office national du film du Canada

Si vous aimez bien ce hibou, il vole la vedette lors d’une autre rencontre, cette fois-ci avec un lemming.

Qu’une petite femme

Et si on se rapproche encore plus d’un certain minimalisme, on élimine même le dialogue, et les interactions, et au final, il n’y a que territoire. Il s’agit ici d’un court métrage d’animation mettant en scène un poème écrit en 1920. Ce texte vieux d’un siècle est mis en image, tout en douceur.

Labo d’animation du Nunavut : Je ne suis qu’une petite femme, Gyu Oh, offert par l’Office national du film du Canada

 

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  1. Sérieusement moi je ne veux pas voir des films sur la culture autochtone si ils n’ont pas été fait par des autochtones – je pense que les gens ont le droit de faire des films sur les sujets qui les inspirent mais on ne peut pas affirmer que ces films représentent une culture qui ne leur appartient pas

    — Natacha,
  2. J’ai bien aimée félicitation.Plus votre culture est accessible mieux les gens comprennent et veulent en apprendre plus.

    — claudette beaulieu,
  3. J’ai beaucoup apprécié ces films et tout comme monsieur Boudreau, j’ai appris sur nos frères du nord. La poésie est très présente dans ces courts films d’animation. Merci.

    — Micheline Moisan,

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