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Top 5 et top bande-annonce de la semaine

Découvrez les films les plus vus sur ONF.ca cette semaine :
1- Mon oncle Antoine n’a plus besoin de présentation;  2- Un jeu si simple,  film de Gilles Groulx, pour les nostalgiques des Canadiens de Montréal des années 1950-1960; 3- Un dimanche à 105 ans, portrait d’une belle dame acadienne qui vient de célébrer son 108e anniversaire de naissance la semaine dernière. Enfin, le public d’ONF.ca a particulièrement aimé deux dessins animés pour enfants. Les livres et l’école sont au cœur des histoires de La fille qui détestait les livres et Cauchemar à l’école.

Visionnez…

Mon oncle Antoine, Claude Jutra, offert par l'Office national du film du Canada

Un jeu si simple, Gilles Groulx, offert par l'Office national du film du Canada

La fille qui détestait les livres, Jo Meuris, offert par l'Office national du film du Canada

Un dimanche à 105 ans, Daniel Léger, offert par l'Office national du film du Canada

Cauchemar à l'école, Catherine Arcand, offert par l'Office national du film du Canada

Top bande-annonce : IXE-13, un film culte du cinéma québécois

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  1. Aldéa Pellerin-Cormier est une dame ayant traversée le 20e siècle avec le sourire. Née en 1901, Aldéa a aujourd’hui 108 ans. J’ai trouvé la dame charmante et moqueuse. « Peur de mourir, dit-elle, à 105 ans ? J’ai faite ma vie, never mind.» Sa vision du parti conservateur et ses comparaisons sur l’amour des hommes et celui des papillons m’a bien fait rire. Même très âgée, elle continue à se pomponner tous les matins. J’ai trouvé intéressant qu’elle nous fasse part du peu d’éducation qu’elle avait puisque cela prouve la réalité qu’il y avait autrefois. Le fait qu’elle parle de la lune ma touchée puisque mon grand-père, lui aussi, croyait ne jamais voir des hommes marcher sur la lune. Ayant vécu l’excitation des premiers pas lunaires dut être un événement marquant et euphorisant pour l’imagination. Aldéa dit vouloir y mettre le pied, le rêve que beaucoup chérisse. Même très croyante, la dame centenaire ne croit pas à l’enfer. Disant que l’enfer c’est quelque chose qu’on se crée, qu’on s’invente. Je suis d’accord avec elle, l’enfer n’existe pas, comme elle je crois que la plupart du temps on se crée notre propre malheur et qu’il peut nous apparaitre infini et insoluble.

    — Laurence Gagné,

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