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Manon Barbeau source d’inspiration

Quand on évoque son travail, le mot originalité me vient en tête. Suit sa générosité. Envers les laissés-pour-compte, les mal-aimés. Enfin, l’action. La cinéaste a senti l’urgence d’agir. Plusieurs le font de façon superficielle. Manon, elle entre dans la marge avec une sensibilité qui permet à l’effort de se déployer. Avant l’aventure  Wapikoni mobile,  il y a eu  Les enfants de Refus global (1998) sur sa propre blessure d’enfance, L’armée de l’ombre (1999) avec les jeunes de la rue, Barbeau, libre comme l’art (2000) portrait de son père Marcel Barbeau, L’amour en Pen (2004), avec les prisonniers.

Le 3 février, Ashoka Canada  l’a invitée à joindre les rangs prestigieux des entrepreneurs sociaux qu’accueille cette plus grande organisation internationale. Manon Barbeau est l’invitée de l’ONF cette semaine sur son nouvel Espace de visionnage en ligne et vous invite à découvrir dix films issus du Wapikoni mobile. Vous avez des questions à lui adresser? N’hésitez pas.

Voyez Wakak, poème mis en images sur  fond musical algonquin.

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